Les Baby-Boomers s’amènent à Baie-Comeau

Par Charlotte Paquet 27 juillet 2016
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Baie-Comeau – Un groupe musical de Colombier tente une percée à Baie-Comeau. Formés de quatre membres, Les Baby-Boomers feront danser les gens, le 30 juillet, lors d’une soirée qui se poursuivra tant que la piste de danse sera occupée et que le plaisir régnera à la salle des Pionniers, rue Maisonneuve.

C’est du moins ce qu’assure Germain Hovington, claviériste et chanteur du groupe. Natif de Colombier, ce dernier réside dans la Manicouagan depuis plusieurs années. Ses trois complices, Michel Gauthier à la guitare basse, Gilles Charron à la guitare et Jean-Guy Maltais à la batterie habitent toujours Colombier.

Le groupe a été formé en 2009. Pour ses membres, c’était une sorte de retour aux sources puisqu’ils ont joué ensemble pendant leur adolescence. « On devait avoir 14 ou 15 ans. On a pris chacun notre bord par la suite, la vie étant ce qu’elle est », explique le porte-parole.

Quelques dizaines d’années auront passé avant que les copains de jadis se retrouvent pour faire de la musique. En 2009, ils étaient six. Deux ont abandonné depuis. Germain Hovington s’est aussi accordé une pause d’un an et demi, trop occupé par un autre projet. Il a repris sa place au clavier et au micro l’hiver dernier.

Le quatuor se réunit une fois par semaine pour pratiquer. Chacun travaille aussi les pièces en solo. se produisent surtout en Haute-Côte-Nord, principalement à Colombier, à Forestville et à Portneuf-sur-Mer. Ils étaient d’ailleurs des dernières festivités de la Fête nationale du Québec à Colombier.

À quoi s’attendre?

le groupe est sur Facebook)possèdent un répertoire d’une cinquantaine de pièces qui vont des années 50 aux années 90 pour la grande majorité. Les Chubby Checker, Roy Orbison, CCR, Cheap Trick y ont une belle place, tout comme les Bryan Adams, Bon Jovi, Queen, Gun’s and Roses et Michel Pagliaro. Germain Hovington insiste sur le fait que les amateurs de rock, de samba ou de chachacha, entre autres, seront servis à souhait.

« On veut se faire connaître dans la région, car on n’a jamais joué dans le coin. On cherche à se produire un peu plus », conclut le claviériste et chanteur, après avoir noté qu’en Haute-Côte-Nord, les occasions de le faire sont tout de même limitées.

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