Fanny Mallette décrit Stealing Alice comme un tableau
Fanny Mallette est présidente d'honneur de la 29e édition du Festival international du film de Baie-Comeau, Cinoche.
Baie-Comeau – « J’invite les gens qui vont voir Stealing Alice à laisser leur tête au vestiaire et à regarder le film comme s’ils regardaient un tableau en se laissant envahir par les émotions. »
Celle qui parle ainsi, c’est Fanny Mallette, présidente d’honneur de la 29e édition du Festival du film international de Baie-Comeau, Cinoche. Elle a pris part, jeudi, à la soirée d’ouverture de l’événement en compagnie du réalisateur de Stealing Alice, Marc Séguin (un artiste peintre, et de Macha Grenon, qui joue dans Pays.
Comme l’explique la présidente d’honneur, Stealing Alice, c’est en quelque sorte une succession de tableaux dans lesquels chaque scène est un moment à vivre. Il ne faut pas s’attendre à une histoire linéaire. L’immensité du territoire québécois y apparait dans toute sa splendeur, ce qui ne laisse pas les spectateurs indifférents, selon elle.
Ce film, tourné sur une période d’un an et demi, a permis à l’actrice de vivre quelque chose d’absolument inédit en près de 20 ans de carrière professionnelle. Elle raconte s’être notamment retrouvée complètement seule sur une montagne du Grand Nord pendant une vingtaine de minutes pendant que ses collègues de travail, à bord d’un hélicoptère, tournaient des images plus loin. Elle a aussi éviscéré un wapiti, ce qui n’est quand même pas rien.
Pour découvrir davantage Fanny Mallette, les rôles qui l’ont marquée et ses aspirations, surveillez la prochaine édition papier du journal Le Manic.
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