Jordan Martel ne ralentit pas la cadence

Par Sandro Célant 23 novembre 2017
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Pilier offensif de son équipe, le vétéran Jordan Martel (fiche de 15-13-28 en 22 parties) ne ralentit pas trop la cadence depuis le début de la saison. Photo Denis Thibault

Pilier offensif de son équipe, le vétéran Jordan Martel (fiche de 15-13-28 en 22 parties) ne ralentit pas trop la cadence depuis le début de la saison. Photo Denis Thibault

Baie-Comeau – Le Drakkar a retrouvé ses partisans, le weekend passé, tout en conservant une moyenne de .500 avec une défaite par jeu blanc vendredi soir et une belle victoire dimanche.

De retour au jeu après une semaine complète de congé, les Baie-Comois ont tenté de s’inspirer de leur récent périple fructueux dans les Maritimes, qui s’est soldé par deux triomphes en trois sorties.

Victorieux dans six de ses huit derniers matchs, le navire vogue sur une mer beaucoup plus calme depuis les dernières semaines et le bon travail collectif de ses matelots procure des résultats positifs.

Meneur incontesté dans l’offensive de son club, le vétéran Jordan Martel connaît un départ canon en 2017-2018 comme en témoigne sa fiche de 15 buts, 13 mentions d’aide et 28 points au cours de ses 22 premières parties.

Ça se passe bien

« C’est vrai que les choses se passent bien pour moi, mais également pour toute l’équipe. Nous avons éprouvé plus d’ennuis en début de saison, mais les choses se replacent de plus en plus », a commenté le productif numéro 27.

Auteur de 25 filets (fiche de 25-26-51) la saison dernière, l’ailier de 19 ans n’a pas du tout ralenti la cadence et pourrait rapidement égaler et dépasser son total de buts en saison régulière.

« Je n’ai aucune statistique en tête. J’ai de bonnes chances en attaque et je tente d’en profiter au maximum. J’ai confiance et je veux travailler sur ma constance en prenant les matchs un à la fois. »

Jumelé au joueur de centre Gabriel Fortier (dossier de 10-12-22), Martel reconnaît que la complicité sur la patinoire devient de plus en plus naturelle avec le rapide numéro 9 et ce, peu importe qui complète le trio sur le flanc gauche. « On se connaît de mieux en mieux tout comme le reste de l’équipe. Depuis les dernières semaines, les gars travaillent pendant trois périodes. Il y a moins de temps morts durant un match. On a du fun et cela donne des points précieux au classement. »

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