Hockey Senior AA | Aux couleurs de leurs favoris
Nadya Leclerc de la Maison de Publicité, avec les articles promotionnels réalisés par son entreprise pour les Basques et les Gaulois du Circuit CFM Senior AA.
Il y aura de plus en plus d’orange et de vert dans les estrades des arénas de Sept-Îles et Port-Cartier, avec casquettes, tuques, kangourous et chandails répliques. La Maison de Publicité est derrière les articles promotionnels des Basques et des Gaulois du Circuit CFM Côte-Nord. Elle habille aussi l’organisation des Marchands.
Lors du match local des Gaulois du 2 novembre, Nadya Leclerc était sur place pour une première fois, pour vendre des articles de la formation port-cartoise, elle qui a repris la Maison de Publicité, il y a deux ans. « On le fait pour le plaisir et se faire voir », dit-elle, contente de comment ça s’est déroulé. « On a vendu beaucoup de kangourous noirs. Ça rassemble le hockey, les arénas sont pleins. Je trouve ça beau ! »
Du côté des Basques, la façon de procéder pour se procurer les articles promotionnels est en réflexion.
C’est la première saison que les équipes de l’est font appel aux services de la Maison de Publicité. « Je suis contente que les équipes encouragent [l’achat] local. J’ai de bonnes ententes avec elles. »
La Maison de Publicité s’associe aussi avec d’autres organisations sportives du milieu, notamment le Husky de l’école Jean-du-Nord/Manikoutai.
Sentiment d’appartenance
Nylan Bouchard parle de sentiment d’appartenance en lien avec le nom de l’équipe, les Basques, nom que porte également les formations de l’Association du hockey mineur de Sept-Îles.
« On touche beaucoup de personnes avec le nom d’équipe. Le monde s’associe aux Basques. Pour les jeunes, c’est comme la LNH. Ils se disent qu’un jour ils vont jouer pour les Basques. »
Steeve Cormier voit de plus en plus de jeunes avec un coton ouaté ou une calotte des Marchands. « C’est le fun ! », dit-il.
« On répond à la demande, mentionne Sébastien Deschênes des Gaulois. Il ajoute que chaque équipe a maintenant son logo sur les rondelles officielles de match à domicile.
« Les gens sont fiers de leur équipe », mentionne Jean-François Landry des Pionniers.
Frites, sauce, fromage
Qu’est-ce qui fait fureur dans les arénas ? La poutine ! Parlez-en à Michel Gallant, qui opère la concession de restauration dans les arénas de Sept-Îles, via le Snack-bar chez Mimi.
« La poutine, c’est notre gros vendeur, avec la bière », assure-t-il. Il s’en vend entre 300 et 400 le temps d’une soirée de match du Senior. Des chiffres qui n’équivalent toutefois pas à un week-end de tournois adultes, ou pour le Fer-0 (plus de 1 000 poutines), mais « dans un délai plus court de deux heures et demie, c’est intense », souligne Michel Gallant.
Les hot-dogs vapeur sortent aussi en bonne quantité.
Et parole du propriétaire, c’est un match avec comme visiteurs les Marchands de Havre-Saint-Pierre à l’aréna Conrad-Parent qui est le plus profitable. « Ça se vend plus », dit-il, parlant de la bière. « Il y a beaucoup plus d’ambiance. Les gens de la Minganie aiment fêter. »
Il y a aussi la rencontre disputée entre Noël et le Jour de l’An qui rapporte gros, avec le retour en ville des étudiants, qui se préparent à sortir après la partie.
Ça sort au bar !
Un match du Senior AA, ça vient avec une sortie avant, et même après le match. L’engouement se fait sentir dans les restos-bars.
La propriétaire du Pub Saint-Bernard, à Port-Cartier, Chantale Dupuis parle d’un « achalandage fou après un match ».
« Avant le match, les gens viennent aussi manger. »
Aux après-matchs des Gaulois, c’est plein de haut en bas.
« Quand il y a du Senior, on sait que le Pub va fermer tard et j’ai plus de serveuses et serveurs. Ça fait rouler l’économie. Le Senior fait sortir les gens, et même des gens de Sept-Îles viennent », souligne Mme Dupuis.
Il y a également un DJ ou des chansonniers lors des après-matchs.
À la Microbrasserie la Compagnie, l’effet d’une partie à Sept-Îles est aussi ressenti, alors que la place se vide plus tôt, les gens se rendant à l’aréna, fait savoir Marie-Pier Johnson, copropriétaire de l’endroit.
Même les joueurs se rendent compte de l’engouement. « On voit nos partisans au bar », mentionne Nylan Bouchard, au sujet des après-matchs à la P’tite Grenouille, partenaire des Basques — Groupe Olivier de Sept-Îles.
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