Francine Chicoine au Salon du livre de Rimouski
L'autrice Francine Chicoine participera à la soixantième édition du Salon du livre de Rimouski, du 6 au 9 novembre. Elle y présentera Même si on oublie tout le reste, sa dernière oeuvre. Photo courtoisie
L’autrice baie-Comoise Francine Chicoine participera à la soixantième édition du Salon du livre de Rimouski, qui se tiendra du 6 au 9 novembre au Centre des congrès. Elle y présentera sa dernière oeuvre, Même si on oublie tout le reste, un carnet d’écrivain lancé en mars 2025.
Mme Chicoine se joindra à quelque 300 auteurs et autrices sur place. Elle participera à des séances de dédicaces au stand du Regroupement des éditeurs franco-canadiens le vendredi en avant-midi et en après-midi et le samedi en après-midi.
De plus, elle sera sur scène lors d’une soirée de poésie qui réunira plusieurs écrivains, samedi, aux Bains Publics – Cabaret culturel, coop de solidarité, rue Saint-Germain Est. Chacun lira un extrait de son livre.
Un espoir
Même si on oublie tout le reste, son neuvième ouvrage, est publié aux Éditions David. « C’est un livre qui se veut un espoir, qui n’est pas assourdissant », raconte Mme Chicoine au bout du fil. Elle y couche sur papier ce qui la préoccupe à travers les différentes facettes de sa vie.
Au fil des ans, l’autrice dit avoir colligé moult notes sur des sujets variés. « Il y a dans la vie des choses qui nous marquent. » Ses proches, en particulier sa mère, ont une belle place dans ses écrits. Des écrits qui, réunis dans son bouquin, font voyager les lecteurs « de la banalité du quotidien aux beautés de la nature, des petits bonheurs aux souffrances de l’humanité, de la parole à l’écoute et au silence réparateur », peut-on lire sur la quatrième de couverture.
Francine Chicoine jette un regard sur ce qui l’entoure à travers une période qui s’est étendue sur 20 ans. « Avant, je n’avais pas le temps de mettre sur papier toutes les notes prises. Je n’avais pas le temps pour mes affaires personnelles. »
La Baie-Comoise a dirigé pendant 13 ans la collection Haïku, aux Éditions David. On lui doit aussi la fondation du Camp littéraire de Baie-Comeau, des Éditions Tire-Veille et de l’École nationale de haïku.