Martin Delarosbil
Martin, le 13 mars 2020, il y a 1 an, tu fermais doucement les yeux. Malgré notre déchirement, notre douleur s’est alors faite discrète, comme tu le souhaitais. Seule la pensée de la fin de tes souffrances nous a aidés à surmonter ce vide laissé par ton départ. Pourtant tu nous manques encore tellement. Que de fois, nous aimerions te faire part de nos joies, de nos projets… mais malgré tout, nous sommes persuadés que tu jettes toujours un coup d’oeil! Continue d’être notre ange gardien. Avec toute notre tendresse et pour toujours.
De toute la famille