« On a vu qu’on était une ville de hockey » – Michel Desbiens

Par Charlotte Vuillemin 11:28 AM - 16 mai 2024
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Michel Desbiens et Mario Cecchini, président de la LHJMQ. Photo Kassandra Blais

Le maire de Baie-Comeau Michel Desbiens est un fervent supporter du Drakkar, ce n’est plus un secret. Il se dit très fier de l’équipe qui a brillamment représenté la ville au cours de cette saison 2024 et des séries.

« On est très heureux de la saison du Drakkar, on a eu une saison extraordinaire et les jeunes ont travaillé très fort. Le conseil d’administration a travaillé très fort et tout le staff aussi. C’est certain qu’on aurait aimé que ça se termine d’une autre façon, mais Drummondville avait une très bonne équipe alors c’est eux les champions et ils ont mérité de remporter la finale. On est très heureux de la saison du Drakkar et on a vu qu’on était une ville de hockey. On voyait les matchs où les billets se vendaient en 10 minutes », confie le maire de Baie-Comeau.

Malgré la défaite en finale, le Drakkar a su réaliser de très bonnes séries éliminatoires.

« Il faut comprendre que Drummondville avait une très bonne équipe. En finale, c’était deux très bonnes équipes, et Drummondville a joué de très belles parties à nous faire perdre notre offensive. Je les félicite et ils vont biens nous représenter à la Coupe Memorial », continue Michel Desbiens.

Les retombées économiques pour la ville sont excellentes, et prouvent à tous que Baie-Comeau est fière d’être une ville de hockey.

« Les retombées économiques sont très bonnes. Les hôtels étaient pleins, certains avaient de la misère à se trouver des chambres. C’est très bon économiquement pour la ville et je le répète, on a vu qu’on était une ville de hockey. Certaines personnes pouvaient penser que même si on est une ville de 20 000 habitants, qu’on est pas une ville de hockey. Mais quand 10 % de ta population va au match, ça veut tout dire », se réjouit le partisan du Drakkar.

Son meilleur souvenir des séries ?

« Le but en supplémentaire compté par Jules Boilard. J’étais présent à tous les matchs et pour ceux qui étaient présents, quand Antoine Lavoie a lancé et qu’on a su après que c’était Jules Boilard qui avait compté, c’était une expérience, j’avais des frissons en écoutant ce match-là », conclut M. Desbiens.