Le Dépannage de l’Anse aménage une mini-boutique de robes de bal et de mariage

Directeur général du Dépannage de l’Anse, Alain Ouellette pose avec Mireille Thibaudeau, grande responsable de la touche artistique de la mini-boutique, et trois employés qui ont aussi mis la main à la pâte. On reconnaît William Setiyo, Bianca Fortin Saint-Pierre et Mathieu Thibodeau.
À quelques semaines de la saison des bals de finissants et des mariages, le Dépannage de l’Anse a inauguré sa collection de robes de circonstance dans une mini-boutique située à l’étage.
Samedi, c’était jour d’ouverture de ce magnifique endroit de découvertes destiné à donner plus de visibilité à de magnifiques robes aux modèles et aux couleurs variés qui, avant, se trouvaient au sous-sol parmi d’autres types de dons de la communauté.
« Là, on va ouvrir la caserne d’Ali Baba et ses surprises », a lancé Alain Ouellette, directeur général de l’organisme, en ouvrant les portes pour procéder à la coupure symbolique d’un ruban pour le moins original, en présence de quelques personnes.

Aménagée avec une touche artistique par Mireille Thibaudeau, une bénévole, la mini-boutique offre aussi des tenues pour bouquetières, bijoux, chaussures et sacs à main chics, tout en faisant des rappels sur les articles associés aux mariages, comme les coupes à vin, les ustensiles, le gâteau, les faire-part et les cartes de remerciement. « On a pensé à tout mettre en œuvre pour dire aux gens n’oubliez pas d’acheter ça pour votre mariage, ou pour votre bal si elles veulent avoir des bijoux, des souliers », a expliqué M. Ouellette.


Ce dernier et Mme Thibaudeau ont consacré autour d’une soixantaine d’heures chacun ces deux derniers mois à l’aménagement de cette pièce qui, auparavant, servait d’entrepôt de vaisselle à la friperie.
S’il est possible de voir la collection pendant les heures d’ouverture du Dépannage de l’Anse, les essayages s’effectuent sur rendez-vous. Il y a encore plusieurs robes de mariée qui attendent d’être en montre à l’étage puisque la priorité a été mise sur les robes de bal en raison de la proximité de ces événements festifs.
Alain Ouellette admet que l’ouverture de cette mini-boutique arrive un peu tard pour les finissantes dont la grande majorité ont sûrement déjà trouvé leur robe de bal. « Même si on est tard, vaut mieux être tard que pas pantoute », fait-il remarquer.
Le prix de départ des belles robes se situe à 50 $. C’est beaucoup moins que le montant de 120 $ qui avait été envisagé il y a quelques mois. Une dizaine de robes de bal ont été vendues depuis février et d’autres ont été récupérées en dons.
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