La pratique de l’activité physique pendant et après un cancer

Par Sandro Célant 1 juin 2016
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La pratique d’une activité physique pendant le traitement contre le cancer s’avère bénéfique sur plusieurs aspects.

– Il permet d’abord une réduction du niveau de la fatigue (comparativement à l’absence de sport) d’environ 30 %, quel que soit le stade de la maladie.

– Une amélioration de la qualité de vie : en améliorant le sommeil et l’image du corps.

– Une amélioration de l’état psychologique et émotionnel grâce à des traitements mieux tolérés et dont les effets secondaires sont diminués.

– Une amélioration de l’observance aux traitements.

– Elle réduit la diminution de la masse musculaire, celle-ci pouvant augmenter la toxicité des chimiothérapies.

– Une augmentation du taux de survie et diminution de 50 % des récidives.

– Une amélioration des chances de guérison (le risque de décès à la suite d’un cancer colorectal est ainsi diminué de 40 % grâce à l’activité physique).

Important

Il est important de prendre soin d’adapter l’activité physique en terme d’intensité, de durée, de fréquence, mais aussi en fonction du patient, de sa pathologie naturelle et du traitement suivi.

Continuer à pratiquer une activité physique après la maladie a tout autant de bénéfices.

Cela permet de lutter contre le déconditionnement physique (diminution de la performance physique liée à la maladie et aux traitements) tout en permettant également de faciliter un retour à la vie sociale, familiale et/ou professionnelle.

 

– Il permet d’abord une réduction du niveau de la fatigue (comparativement à l’absence de sport) d’environ 30 %, quel que soit le stade de la maladie.

– Une amélioration de la qualité de vie : en améliorant le sommeil et l’image du corps.

– Une amélioration de l’état psychologique et émotionnel grâce à des traitements mieux tolérés et dont les effets secondaires sont diminués.

– Une amélioration de l’observance aux traitements.

– Elle réduit la diminution de la masse musculaire, celle-ci pouvant augmenter la toxicité des chimiothérapies.

– Une augmentation du taux de survie et diminution de 50 % des récidives.

– Une amélioration des chances de guérison (le risque de décès à la suite d’un cancer colorectal est ainsi diminué de 40 % grâce à l’activité physique).

Important

Il est important de prendre soin d’adapter l’activité physique en terme d’intensité, de durée, de fréquence, mais aussi en fonction du patient, de sa pathologie naturelle et du traitement suivi.

Continuer à pratiquer une activité physique après la maladie a tout autant de bénéfices.

Cela permet de lutter contre le déconditionnement physique (diminution de la performance physique liée à la maladie et aux traitements) tout en permettant également de faciliter un retour à la vie sociale, familiale et/ou professionnelle.

 

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