L’activité physique pour prévenir et combattre le cancer

Par Sandro Célant 1 juin 2016
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L’activité physique présente de nombreux bienfaits à plus d’un titre. Reconnue comme le vecteur d’une meilleure santé, elle représente un allié de taille contre de nombreux facteurs de risques de pathologie diverse comme le cancer.

La première trace écrite parlant de l’activité physique comme pouvant être utilisée dans la prévention contre le cancer remonte à 1922.

À l’époque, différentes sources rapportaient indépendamment que les taux de mortalité de cancers masculins en Australie, Grande-Bretagne ou aux États-Unis diminuaient quand l’activité physique augmentait.

Depuis ce premier rapport, de nombreuses études épidémiologiques ont examiné la relation entre l’activité et le cancer. Aujourd’hui, il a été établi des conclusions pour le cancer du sein, le cancer du côlon et le cancer de l’endomètre.

Pratiqué au quotidien, le sport permet de réduire le risque de développer de nombreuses pathologies chroniques comme les maladies cardio-vasculaires ou les cancers. C’est aussi un moyen de lutter contre le surpoids et l’obésité, autres facteurs de risque des cancers.

À travers les études des cohortes, il a été démontré que l’activité physique permet une diminution du risque du cancer du côlon de 18 % chez l’homme et de 20 % chez la femme.

Les données prouvent également une diminution du risque de cancer du sein de 21 % en particulier après la ménopause ainsi qu’une diminution du risque du cancer de l’endomètre de 26 %.

Il est également important de noter que 40 % des cas de cancer sont évitables, car associés à des facteurs de risque tels que l’alcool ou le tabac, certaines infections ou une mauvaise hygiène de vie.

La première trace écrite parlant de l’activité physique comme pouvant être utilisée dans la prévention contre le cancer remonte à 1922.

À l’époque, différentes sources rapportaient indépendamment que les taux de mortalité de cancers masculins en Australie, Grande-Bretagne ou aux États-Unis diminuaient quand l’activité physique augmentait.

Depuis ce premier rapport, de nombreuses études épidémiologiques ont examiné la relation entre l’activité et le cancer. Aujourd’hui, il a été établi des conclusions pour le cancer du sein, le cancer du côlon et le cancer de l’endomètre.

Pratiqué au quotidien, le sport permet de réduire le risque de développer de nombreuses pathologies chroniques comme les maladies cardio-vasculaires ou les cancers. C’est aussi un moyen de lutter contre le surpoids et l’obésité, autres facteurs de risque des cancers.

À travers les études des cohortes, il a été démontré que l’activité physique permet une diminution du risque du cancer du côlon de 18 % chez l’homme et de 20 % chez la femme.

Les données prouvent également une diminution du risque de cancer du sein de 21 % en particulier après la ménopause ainsi qu’une diminution du risque du cancer de l’endomètre de 26 %.

Il est également important de noter que 40 % des cas de cancer sont évitables, car associés à des facteurs de risque tels que l’alcool ou le tabac, certaines infections ou une mauvaise hygiène de vie.

 

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