Pizza Salvatoré veut s’installer à Baie-Comeau

Par Steeve Paradis 8:37 AM - 24 août 2021
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Voilà à quoi pourrait ressembler le futur restaurant Pizza Salvatoré de Baie-Comeau.

La bannière Pizza Salvatoré, qui a démarré ses activités dans la région de Québec il y a près de 60 ans et qui compte depuis vendredi 30 restaurants un peu partout au Québec, a désormais la Côte-Nord et Baie-Comeau en particulier dans sa mire.

L’entreprise dévoile ses intentions et révèle qu’elle est à la recherche du meilleur emplacement possible à Baie-Comeau, que ce soit un bail, un achat d’édifice existant ou l’acquisition d’un terrain. Au départ, elle n’a pas de préférence pour un secteur ou l’autre de la municipalité.

« Quand on s’installe dans un endroit, c’est pour longtemps. On ne veut pas ouvrir pour ouvrir. C’est pourquoi on veut le meilleur emplacement et on prend le temps de le dénicher », indique la vice-présidente Communication et rayonnement chez Pizza Salvatoré, Élisabeth Abbatiello, copropriétaire de l’entreprise avec sa sœur et ses trois frères, qui sont les petits-enfants du fondateur, Salvatoré Abbatiello.

« Les marchés de la dimension de celui de Baie-Comeau, ça nous va bien. On s’implante bien dans ce type de marché », ajoute-t-elle en soulignant que l’intérêt de la bannière concerne aussi la région de Sept-Îles.

Dans la dernière année, Pizza Salvatoré a plus que doublé son chiffre d’affaires et fera de même sous peu avec son nombre de succursales. « On a de grandes ambitions. Depuis avril, on ouvre un nouveau restaurant aux 14 jours et on va garder cette cadence jusqu’en décembre », a confié Mme Abbatiello.

Sur les 30 restaurants présentement ouverts, six appartiennent à des franchisés. Les autres appartiennent à la famille et ce sera le cas pour les futurs restaurants.

Élisabeth Abbatiello assure toutefois que les gestionnaires des restaurants Pizza Salvatoré ne sont pas simplement des gérants de succursale, qui ne font qu’appliquer les directives du siège social et qui y renvoie tous les profits. « On n’a pas de difficulté à recruter nos gestionnaires. Ils n’ont pas de mise de fonds à faire et ils participent aux profits », a indiqué la vice-présidente.

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