LettraGraf met la main sur Voltige Communication

Par Charlotte Paquet 6:00 AM - 22 juin 2022
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LettraGraf et Voltige Communication sont désormais propriété de Michel Lefrançois. Au centre, on aperçoit Marie-Ève Morin, ancienne propriétaire de Voltige Communication, en compagnie de M. Lefrançois. Les employés des deux entreprises les entourent. Photo courtoisie

LettraGraf et Voltige Communication ne font plus qu’une depuis le 1er juin avec l’acquisition par Michel Lefrançois, propriétaire de LettraGraf, des actifs de l’autre entreprise.

Cette transaction dans le domaine des arts graphiques permet à l’acquéreur de bonifier son offre avec des produits et des services en identification visuelle et en image de marque. « C’est près de 100 ans d’expérience qui sera au service de la région », ne manque pas de souligner M. Lefrançois, lui-même en affaires depuis 34 ans.

Ce dernier voit dans la conclusion de cette acquisition la possibilité « d’accroître davantage notre offre de service et d’être en mesure d’aller plus loin dans la réalisation des projets de nos clients », indique-t-il dans un communiqué.

Fait important, les deux entreprises garderont pignon sur rue. LettraGraf s’occupera du volet production, fabrication et administration tandis que Voltige Communication se tournera vers l’accueil du client, l’accompagnement et l’offre des produits et services.

L’ancienne propriétaire de Voltige Communication, Marie-Ève Morin, qui quitte la région pour relever de nouveaux défis de vie, se dit convaincue que l’entreprise poursuivra sur sa lancée avec Michel Lefrançois à sa tête et que ses employés, sa clientèle, ses fournisseurs et ses partenaires d’affaires seront bien traités.

Que ce soit du côté de LettraGraf ou de Voltige Communication, aucune perte d’emploi ne découlera de la transaction, assure l’acquéreur. Il prévoit plutôt la création de nouveaux emplois aux 14 déjà existants.

Chaque entité conserve sa raison sociale pour le moment. « On garde les deux noms pour le moment. Il va se passer d’autres choses dans un futur rapproché », conclut M. Lefrançois.

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