Diversification économique et innovation – La Société d’expansion fait confiance à Jean-François Ouellon

Par Charlotte Paquet 28 septembre 2018
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Jean-François Ouellon est le nouveau responsable à la diversification économique et à l’innovation à la Société d’expansion de Baie-Comeau. Photo Le Manic

Le passage de Jean-François Ouellon à la Société d’expansion de Baie-Comeau est déjà terminé, après seulement quelques semaines. Photo archives Le Manic

Baie-Comeau – La Société d’expansion de Baie-Comeau accueille dans ses rangs Jean-François Ouellon au poste de responsable à la diversification économique et à l’innovation.

Grand patron de Commerce international Côte-Nord jusqu’à tout récemment, M. Ouellon, qui compte plus de 10 ans d’expérience en développement des affaires et en développement économique, vient renforcer la force de frappe de l’organisme pour diversifier et stimuler l’économie.

« Je trouve ça valorisant de contribuer au développement de la ville et c’est motivant de voir tout son potentiel », précise le nouveau venu. Il l’avoue, son titre porte à beaucoup de créativité et il compte bien en profiter.

Il travaillera en équipe avec Reina Savoie Jourdain, conseillère stratégique au développement. L’un de ses mandats touchera notamment la revitalisation d’édifices commerciaux, notamment celui situé au 67, place La Salle. « On explore des pistes, on trouve le montage financier », cite en exemple le principal concerné. Le dossier de la zone industrialo-portuaire l’occupera aussi.

Selon M. Ouellon, un petit volet de son travail touchera aussi la fonction d’attaché politique du maire Yves Montigny.

Ce dernier, qui préside aussi le conseil d’administration de la Société d’expansion, accueille d’ailleurs à bras ouverts le nouveau responsable à la diversification économique et à l’innovation. Son expérience sera un atout pour la municipalité, se réjouit-il, tout en laissant entendre que le travail ne manquera pas.

« Ça déborde. Il y a plein de projets. Beaucoup de monde ont découvert que Baie-Comeau existe », souligne M. Montigny. Il explique que plusieurs des promoteurs se disent aujourd’hui « quand c’est bon pour Mason Graphite et pour les Métaux canadiens », ça peut être bon pour eux aussi.

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