Le Drakkar se propose pour organiser une bulle de la LHJMQ en mars

Par Steeve Paradis 12:42 PM - 5 février 2021
Temps de lecture :

Julie Dubé se dit confiante de voir Baie-Comeau recevoir en mars un événement d’environnement protégé de la LHJMQ.

L’organisation du Drakkar revient à la charge afin d’organiser une des deux bulles que la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) souhaite présenter au cours du mois de mars. Le club doit avoir appris du refus qu’il a essuyé en décembre dernier.

On se rappellera qu’à ce moment-là, le circuit Courteau avait jugé la proposition du Drakkar trop onéreuse en termes de coûts. Ce ne sera assurément pas le cas avec cette nouvelle candidature, a assuré la présidente du conseil d’administration de l’équipe, Julie Dubé.

« On avait des coûts à réduire, on en était conscients. Pour cette nouvelle candidature, on a reçu un bon coup de main de la Ville de Baie-Comeau et de nos partenaires hôteliers et restaurateurs », a indiqué Mme Dubé. « À ce moment-là (en décembre), on n’avait pas non plus de balises. On a donc parlé aux autres clubs qui ont fait des bulles et cette fois, on est très confiant », a-t-elle enchaîné.

Selon la présidente, le circuit Courteau songe à organiser deux événements d’environnement protégé en mars, un durant la semaine de relâche et un autre qui s’amorcerait dans la troisième semaine du mois. Le Drakkar a privilégié la seconde option.

« Comme l’aréna est à l’usage exclusif de la ligue dans les bulles, on n’a pas voulu priver les Baie-Comois du centre Henry-Leonard durant la semaine de relâche », a lancé Mme Dubé en guise d’explication.

Cette dernière, ainsi que le vice-président du c.a. de l’équipe, Michel Desbiens, ont eu l’occasion de s’entretenir jeudi avec le commissaire de la Ligue de hockey junior majeur du Québec, Gilles Courteau, une rencontre initiée par le maire Yves Montigny.

L’objectif de cette rencontre virtuelle était d’abord  de faire connaissance, puisque Mme Dubé et M. Desbiens sont en fonction depuis seulement quatre mois, mais aussi pour faire valoir au commissaire l’importance pour Baie-Comeau d’accueillir un événement d’environnement protégé.

« Il y a bien sûr le principe d’alternance, mais ce sont aussi des retombées économiques nécessaires pour Baie-Comeau. On en a besoin autant qu’ailleurs », a-t-elle soutenu en conclusion.

Partager cet article